Transports

 

LES  TRANSPORTS  AUJOURD’HUI

 

Pour circuler sur le territoire du Var, le réseau de transport régional ZOU !

Depuis Comps-sur-Artuby Info sur TAD : https://tedbus.dracenie.com/transport-a-la-demande

 

CO-VOITURAGE

Bientôt ici la présentation d’une solution de type “Blablacar”… trigançois !

Si votre véhicule à était embarqué par la fourrière, vous devrez suivre une procédure afin d’éviter tout problème. Retrouvez ci-dessous les informations pour récupérer sa voiture en fourrière de Toulon

  1. Prenez contact avec la fourrière : Dès que vous réalisez que votre voiture a été mise en fourrière, contactez immédiatement le numéro indiqué sur l’avis de mise en fourrière ou renseignez-vous sur le site web de la municipalité concernée pour obtenir les informations nécessaires.
  2. Rassemblez les documents nécessaires : Avant de vous rendre à la fourrière, assurez-vous d’avoir tous les documents requis. Cela inclut généralement votre permis de conduire, la carte grise du véhicule, votre attestation d’assurance en cours de validité et le procès-verbal de mise en fourrière délivré par les autorités compétentes.
  3. Payez les frais : Prévoyez les frais de mise en fourrière et de garde qui peuvent varier en fonction de la durée de l’immobilisation du véhicule. Assurez-vous d’avoir de quoi régler ces frais, généralement par carte bancaire ou en espèces.
  4. Rendez-vous à la fourrière : Une fois que vous avez pris contact avec la fourrière et que vous avez tous vos documents en main, rendez-vous sur les lieux indiqués. Assurez-vous de connaître les horaires d’ouverture de la fourrière pour éviter tout désagrément.
  5. Identifiez-vous : À votre arrivée à la fourrière, présentez-vous au guichet d’accueil et identifiez-vous en fournissant les documents requis. Le personnel de la fourrière vous indiquera alors la procédure à suivre pour récupérer votre véhicule.
  6. Inspectez votre véhicule : Avant de quitter la fourrière avec votre voiture, prenez le temps d’inspecter l’état général du véhicule pour vous assurer qu’il n’a pas subi de dommages pendant son séjour en fourrière. Si vous constatez des dégâts, signalez-les immédiatement au personnel de la fourrière et notez-les sur le procès-verbal de mise en fourrière.
  7. Récupérez votre véhicule : Une fois toutes les formalités administratives réglées et les frais payés, vous pourrez récupérer votre voiture. Assurez-vous de suivre les instructions du personnel de la fourrière pour sortir votre véhicule en toute sécurité.

En suivant ces étapes, vous devriez pouvoir récupérer votre véhicule en fourrière de manière efficace et sans encombre.

TAXIS

Magali SQUIRI  –  CHATEAUVIEUX  –  0612041874  –  Facebook

Camille  HENRY –  LA  MARTRE  –  0664941953  –  @  et/ou  Facebook

ET  POUR  LES  RANDONNEURS...

Ne randonnez pas sans elle :  la navette Blanc-Martel !

Ce service de transport, proposé par le Parc naturel régional du Verdon, permet aux randonneurs d’accéder aux sentiers au cœur des Gorges du Verdon, dont le célèbre sentier Blanc-Martel. A partir du 12 juillet, il sera désormais possible (et vivement conseillé) de réserver et payer ses places en ligne !

 

LES  TRANSPORTS…UN PEU D’ HISTOIRE !

 

Pourquoi un quartier de la gare à Trigance ?

Les projets de voie ferrée

Le 17 juillet 1879, une loi porte le classement de 181 lignes de chemin de fer, parmi elles, le projet n°137 de Charles de FREYCINET de Digne à Draguignan par St. André et Castellane. (…)

Ce projet, étudié en 1880-81, a été préféré à celui d’un itinéraire Digne-Nice jugé trop vulnérable en cas de guerre. La ligne se détache de l’antenne St. Auban-Digne au niveau de la halte de Champtercier, franchit la Bléone et rejoint par un tunnel la vallée de l’Asse qu’elle remonte jusqu’au col de Moriez, franchi en tunnel pour atteindre St. André-de-Méouilles. De là, elle suit sans difficultés majeures la vallée du Verdon jusqu’à Castellane et au confluent du Jabron, remontant ensuite ce torrent pour rejoindre Trigance et Comps. Elle traverse enfin les étendues calcaires et désertiques du plateau de Canjuers pour venir se raccorder à la ligne Draguignan-Grasse. (…)

Le 21 avril 1891, un nouveau projet de ligne de Digne à Draguignan est transmis pour approbation au ministère des Travaux Publics.
Cette ligne aurait un développement de 81 km. Elle se détacherait de celle de Meyrargues à la sortie ouest de Draguignan (altitude 180m), dans la montée du col de l’Ange, pour s’élever en rampe continue au dessus de la vallée du Nartuby, desservant au passage les stations de Figueiret-Lentier et Ampus. Parvenue sur le plateau où est implanté aujourd’hui le camp militaire de Canjuers, la voie desservirait successivement Beau-Soleil et ses mines de fer, Mathurine, Guent, pour rejoindre dans la vallée de l’Artuby le premier village de quelque importance : Comps (altitude 865m). De là, elle descendrait par Jabron et Trigance jusqu’à l’entrée des célèbres gorges du Verdon, remontant ensuite constamment ce cours d’eau La Palud-Rougon, Chasteuil, Castellane (altitude 721m), Castillon, St.Julien et St.André (altitude 908m), où elle se raccorderait à la ligne de Digne. Ce tracé comporterait plusieurs ouvrages d’art, essentiellement sur le versant méridional, où près d’Ampus un immense pont métallique à trois travées de 60m sur le Nartuby dépasserait de loin le viaduc de la Siagne, avec une hauteur de 90m au dessus du torrent.

Devant l’importance de l’investissement par rapport à la faible population à desservir, deux variantes de tracé sont définies. Au départ de Draguignan, la ligne prendrait naissance non plus à l’ouest mais à l’est, à Callas. De là, elle desservirait au plus près le village de Bargemon, qui aurait ainsi une seconde gare en plus de celle établie sur la ligne de Grasse; elle s’élèverait ensuite vers le plateau de Canjuers pour rejoindre Comps. Cette variante aurait l’avantage de réduire de 11km le tracé initial. Au départ de Comps, la ligne rejoindrait Castellane non plus à l’ouest par la vallée du Verdon, mais à l’est par Bargème.

Ce n’est que la déclaration de guerre de 1914 qui viendra mettre un terme à près de trente années d’espoirs : comme Barcelonnette, Castellane ne connaîtra jamais le chemin de fer !